Blanche Neige

Dernier film que nous ayons vu. Je manquerais d'objectivité car j'adore Julia Roberts et pour moi un film avec elle ne peut pas être raté... hmmmm très objectif en effet! 

Non sans blague, jolie réinterprétation du conte, plus drôle, plus moderne et féministe. Cependant je n'ai pas trouvé que l'actrice jouant le rôle de Blanche Neige avait une tête de Blanche Neige (le quid des sourcils entre autre). Les Nains étaient très drôle, le Prince aussi. La Reine bien qu'effectivement mauvaise, n'était peut être pas assez cruelle. Mais là n'était pas le but de cette version du conte. En effet le choix a été, selon moi, d'en donner une lecture plus comique. Et franchement c'est une réussite. Le film est très drôle, et j'ai eu des éclats de rire. 

Et Julia Roberts :  tout simplement magnifique, des mimiques, des gestes, un prestance, comme toujours elle est parfaite. J'ai aussi aimé la relation entre la Reine et son Miroir qui est un personnage a part entière du film.

Et que dire des costumes et des décors? Magnifique. J'ai vraiment adhéré au concept. Ce film est très divertissant, malgré quelques lourdeurs qui se font oublié très vite.

Mais quand même, rien ne détrônera le film de Walt Disney... A voir la comparaison aussi avec l'autre Blanche Neige, Blanche Neige et le chasseur avec Charlize Theron et Kristen Stewart.

Aiguillettes de canard aux champignons

Pour 2 personnes :

Coupez 5 gros champignons en lamelles et les faire revenir dans une poêle avec une noisette de beurre ou un peu d'huile pendant 5 minutes environ.

Dans un bol mélangez 10 cl de crème liquide, 2 c à soupe de vin blanc (si possible sec) et 1 petit c à café de moutarde. Versez sur les champignons cuits et laissez 2 minutes sur feu doux en mélangeant fréquemment.

En même temps, dans une autre poêle faites cuire dans un peu de beurre ou d'huile 6 aiguillettes de canard pendant 3 minutes.

Il ne reste plus qu'à dresser dans une assiette avec un accompagnement (riz, pâtes, frites,...)

Hunger Games

Samedi dernier nous sommes allé voir Hunger Games. Les extraits m'avaient donné envie. Au final pas déçu, au contraire.

Le film est un peu découpé comme un chemin initiatique en trois périodes : la vie dans l'environnement familial, l'entrainement coupé de la famille, les épreuves. On est plongé dans un futur qui ne donne pas envie, avec un soupçon de mythe de Thésée avec le sacrifice de jeunes gens comme tribut pour la société.

Beaucoup d'émotion et d'action dans ce film. Un point négatif serait peut être la psychologie des personnages qui n'est pas assez creusée. Mais pour le reste, beaux décors, beaux costumes (parfois très originaux), du grandiose dans la capitale, de l'émotion, du courage,... Vraiment j'ai aimé le film.

Vivement la suite et en attendant je pense lire la trilogie.

Au détour des ruelles de Montpellier

Photos prise lors d'une promenade dans l'Ecusson :

Au carrefour des rues Vallat et Voltaire

Une place où j'adore m'arrêter pour écouter le clapotis de la fontaine et prendre un bon thé à la terrasse du café.

Hôtel d'Uston

Datant du XVIIIème siècle, l'hôtel d'Uston offre une façade richement ouvragée. On remarque notamment la clé à figure féminine et les chérubins encadrant une coupe fleurie sculptés sur le fronton.

C'est Antoine Samuel Bonnier d'Alco qui fit aménager l'hôtel particulier. Il était fermier général, puis président à la Cour des aides de Montpellier au service du Roi. La famille avait auparavant fait fortune dans commerce drapier, avant de se reconvertir dans la finance et ainsi d'accéder à la noblesse de robe. Le nom Bonnier d'Alco fût pris suite à la construction du château d'Alco. Une autre branche de la famille prend le nom de Bonnier de La Mosson suite à la construction du château de la Mosson.

Le fils d'Antoine Samuel Bonnier d'Alco, Ange Elisabeth Louis Antoine Bonnier d'Alco fût entre autre ministre plénipotentiaire de la Républiquen et assassiné en 1799.

Hôtel de Solas

A l'origine il s'agit d'une maison médiévale. Elle fût indéfiniment reprise pendant tout le XVIIème siècle pour Jean de Solas président à la cour des comptes aides et finances. La façade est de nouveau maintes fois reprise au XVIIIème siècle, sous Antoine Bonnier d'Alco. Et une réfection du passage d'entrée et de l'escalier eut lieu au XIXème siècle.

 

La Société Royale des Sciences de Montpellier

 

En 1706 François de Plantade et François-Xavier Bon, tous deux conseillers à la Cour des Comptes, Aides et Finances, fondent rue de l'Aiguillerie la Société Royale des Sciences dans l'hôtel acheté par la famille Guilleminet en 1683. Le siège se trouve au n°31. La société royale des sciences de Montpellier est officiellement fondée par lettres patentes du roi Louis XIV « comme extension et partie de l’Académie parisienne », l'Académie des sciences créée peu avant, « afin qu'elles constituent ensemble un seul et même corps ». Selon le roi, « il nous a été montré que Montpellier ne pouvait être tenue pour plus digne de notre prédilection, tant elle est fameuse depuis longtemps par un grand nombre de savants érudits en toutes les sciences. »

Elle est alors composée de quinze membres titulaires répartis entre les mathématiques, l'anatomie, la chimie, la botanique et la physique.

La société publie des mémoires, fait des échanges de travaux avec l’Académie parisienne. Elle fonde à Montpellier deux laboratoires de recherche et d’enseignement confiés à des savants reconnus, l'abbé Berthelon, chargé des travaux de physique, et Jean-Antoine Chaptal, chargé des travaux de chimie. Un observatoire d'astronomie est construit en haut de la tour de la Babotte. Elle participe à l'élaboration de l’Encyclopédie de Diderot et d'Alembert.

La Convention nationale dissout en septembre 1793 les sociétés savantes. En 1795, la société libre des sciences et belles lettres de Montpellier est créée pour prendre le relais de la société royale, avec des compétences élargies. À partir de 1816 à 1846, la société libre tombe en sommeil.

La société est recréée en 1846 sous le nom d’académie des sciences et lettres de Montpellier. Les fonds précédents ayant disparu, l'académie doit reconstituer une bibliothèque. Elle siège successivement place de la Canourgue (1846-1890), au palais universitaire (1891-1963) et dans l’hôtel de Lunas (depuis 1963).

Mince alors!

Ce samedi nous avons vu Mince alors! Et sans jeu de mots on pourrait dire "mince alors" en sortant de la séance. Mais un "Mince alors!" de surprise tant ce film n'est pas le film insipide et sans intérêt que certains on pu décrire. Ce film est tout simplement génial. Beaucoup d'humour, beaucoup de tendresse et d'émotion. Le scénario n'est pas forcément des plus innovant mais le jeu des acteurs est excellent. Le trio des bonnes copines est touchant et percutant. Le gamin est très touchant lui aussi. Les hommes sont tous pourris, enfin pas tous... Y'a Youssuf...

Un film qui donne du punch! Il faudrait obliger tous les moqueurs de gros à le voir. Oui on peut être gros et drôle, gros et intelligent, gros et amoureux, gros et bien mieux qu'un mince. Alors, allez le voir...

Quelques photos de Montpellier le 9 avril 2012

Vues de la Place de la Comédie :

 

La Place Jean Jaurès :

Autour de la Place des Martyrs et la Préfecture :

Les tramways de Montpellier

Pour commencer ci-dessus le tramway ligne 1 que vous avez déjà vu dans un autre sujet.

Ci-dessous les autres lignes:

 _ la ligne 2 fleurie

_ la ligne 3 qui se veut marine

 

_ d'une ligne à l'autre le ligne 4 solaire 

 

Ainsi les décors des quatre lignes de tramway de Montpellier sont censées représenter quatre élèments : le ciel (ligne 1 bleue avec des hirondelles), la terre (ligne 3 avec les fleurs), l'eau (ligne 3 avec un décor marin) et enfin le feu (ligne 4 solaire d'inspiration royale style Louis XIV).

Que nous réservent les lignes suivante?